De bon matin, j'ouvre le tiroir du petit déj' et je tombe “nez à nez” avec un gecko. Comment est-il arrivé là ? Nous ne sommes pas allés au port depuis fin février sauf lors de passages exprès pour remplir les cuves… Il a dû se faufiler dans un sac à dos au cours d’une pause lors d’une rando et depuis il erre sur notre bateau ! Qu’allons nous faire de lui ? Si j’avais pu l’attraper, mon premier réflexe était de le passer par-dessus bord, je n’aime pas trop les petites bêtes du genre reptiles, insectes ou rongeurs… Mais Alex et les enfants le trouvent trop mignon !!! On va devoir faire avec… jusqu'à ce qu’il meure de froid ou de faim ou de solitude... Tant qu'à l’avoir à bord, on se dit qu’il pourrait faire l’objet “d’une étude scientifique”, on le mettrait bien dans une boîte et on l'observerait tels les académiciens à bord de La Boussole de Monsieur de La Pérouse (avant qu’il ne fasse naufrage)... bref, je m'égare… En attendant, on n’arrive pas à remettre la main dessus, il se cache. Après une rapide recherche, je découvre que le gecko mange les insectes (très utile sur un bateau), que ce n’est en rien dangereux (ça lui évitera un coup de pelle ... à tarte) et que ça porterait bonheur d’en avoir chez soi ! Allez Roméo, c’est bon, arrête de jouer à cache-cache, tu peux rester ! Mahaut d’ajouter : “ tu as de la chance, on aurait pu avoir plein d’œufs si ça avait été une femelle !
- Et pourquoi ce ne serait pas une femelle ?
- Ben tu viens de dire qu’il s’appelle Roméo!”
Intéressant comme remarque mais du coup, rien n’est moins sûr… on va peut être commencer un élevage de geckos !

Ajouter un commentaire
Commentaires